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Blanche Merz définit la géobiologie par : " La géobiologie étudie l'influence de la Terre, du lieu précis sur tout ce qui vit : l'homme, l'animal, la plante. " Sans vouloir rentrer dans les détails, voyons tout d'abord quelques notions de base de cette science.
La Terre est au centre d'un champ vibratoire harmonique formé de 2 forces qui se complètent et s'équilibrent : la force cosmique, provenant du ciel qui vient neutraliser la force tellurique, provenant du centre de la Terre et qui se diffuse dans les premières couches de l'atmosphère. Cette harmonie du champ vibratoire est fragile et peut être perturbée : par exemple, les ondes électromagnétiques, les failles, courants d'eau souterrains, modification du champ géomagnétique, ...
La Terre est comparable à un corps humain et on peut reporter par analogie les méridiens de l'acuponcture chinoise aux méridiens que sont les rayons telluriques. Sur l'homme, ces rayons d'énergie sont appelés chez les orientaux des nadis. Ils sont la contre-partie étherique des systèmes nerveux. Ainsi notre corps est vitalisé par ces nadis, et la maladie provient souvent d'un déséquilibre des nadis : ceux-ci ne vitalisent plus les organes physiques de notre corps qui tombe malade. Cela implique bien sur que le rééquilibre de nos énergies vitales entraîne un retour à la santé. Nous possédons beaucoup de nadis mais il en est 3 très importants : Sushumna, Ida et Pingala. Ces nadis sont parcourus par une énergie appelée Prana. Lorsque ces nadis se croisent de façon intense, il se forme des centres énergétiques : 7 majeurs où les nadis se croisent 21 fois et 21 mineurs où les nadis se croisent 14 fois. Ces 7 centres majeurs sont appelés Chakras :
Ainsi la Terre est parcourue de rayons telluriques et possède tout comme l'homme des centres vitaux.
Vers la fin de la deuxième guerre mondiale, le docteur Ernst Hartmann mit en évidence un réseau tellurique qui porte depuis son nom : le réseau Hartmann. Ce réseau quadrille la Terre : il se présente comme une structure de murs verticaux invisibles et radioactifs d'une largeur de 21 cm chacun. Ces murs quadrillent le sol en maille de 2m en direction nord/sud et 2,50m en direction est/ouest. Le noeud Hartmann est tout simplement l'endroit où se coupent 2 murs : ce point est généralement géopathogène. L'eau souterraine joue le rôle d'amplificateur du noeud Hartmann. Entre les murs, sur une maille de 2 m sur 2,50 m, nous avons une zone neutre. Ces noeuds ont d'autres particularités : par exemple, 24 heures avant une basse pression, l'émission de rayonnement gamma double sur le noeud et peut même quadrupler sur sol volcanique.
Pour mesurer les taux vibratoires, on utilise le biomètre de Bovis: c'est une sorte de réglette que l'on utilise avec un pendule et qui fut conçue par le physicien Bovis. Elle détermine la valeur en Unité Bovis d'un lieu (UB). Le biomètre nous donne trois dimensions :
Un lieu moyennement équilibré, donc neutre, présente 6 500 UB. En-dessous, le lieu est affaibli et peut devenir nocif. Au dessus de 8 000, le lieu est trop fort pour l'homme : il ne peut y rester trop longtemps sans se déséquilibrer énergétiquement. On peut aussi mesurer la vitalité de l'homme avec le biomètre : à 3 000 UB , l'homme est malade, à 2 000 UB, il est très malade, et à partir de 1 000 UB, il a un pied dans la tombe. Entre 7 000 et 8 000 , il est en pleine forme !
Les deux tours d'une cathédrale nous renseignent sur les courants telluriques du lieu : la plus haute correspond au courant le plus fort. Seule un cathédrale épiscopale peut avoir deux tours identiques.
L'axe de courant tellurique principal nous est donné par la ligne noire sur le dallage qui part du narthex et va jusqu'à la chapelle absidiale de la Vierge : il coupe la cathédrale en deux.
Sur cet axe, on rencontre :
Feu - Eau
Air - Terre
Le centre du choeur est pavé de marbre dont les couleurs rappellent les trois phases de l'Oeuvre : noir, blanc et rouge. Au centre, il y avait un compartiment circulaire avec huit demi fleurs de lys en marbre blanc dont les pointes tendaient vers le centre; Là, deux cercles concentriques encadraient un disque en argent gravé aux armes du roi, de la ville d'Amiens, de l'évêque et du chapitre.